Avantage fiscal 1 : financement par l'employeur à parts égales
Dans une solution de prévoyance Bel-Etage, l'employeur se taille souvent la part du lion du financement. Un financement par l'employeur surparitaire au lieu d'une augmentation de salaire pour les cadres apporte une réelle plus-value fiscale pour l'employeur et l'employé.
Avantage fiscal 2 : réserves de cotisations de l'employeur
Dans la caisse de prévoyance de PensUnit, les entreprises affiliées peuvent accumuler des réserves de cotisations patronales. L'avantage : en période de croissance, vous pouvez réduire le bénéfice de votre entreprise en constituant des réserves. Ces réserves pour les cotisations ordinaires de l'employeur sont ensuite à votre disposition dans les phases économiques moins stables. Les dispositions fiscales cantonales doivent également être respectées à cet égard.
Avantage fiscal 3 : réserves collectives de fluctuation de valeur
Dans le cas de notre fondation Bel-Etage PensUnit, vous devez, en tant qu'employeur, constituer une réserve collective de fluctuation de valeur pour votre œuvre de prévoyance. Celle-ci vous sert de coussin de sécurité pour d'éventuels découverts de votre caisse de cadres. L'objectif de cette réserve dépend de la stratégie de placement choisie. En cas de découvert, cette constitution de réserves apporte sécurité et stabilité à l'institution de prévoyance. Elles réduisent le bénéfice imposable de l'entreprise.
Avantage fiscal 4 : salaire AVS versus dividende
Voilà qui plaide en faveur du salaire AVS : plus le salaire AVS du propriétaire de l'entreprise est élevé, meilleures sont les prestations de risque en cas de décès et d'invalidité et plus élevées sont les prestations de vieillesse du 2e pilier. A cela s'ajoute le fait que plus le salaire AVS assuré est élevé, plus les lacunes de rachat de la prévoyance des cadres sont importantes et plus les avantages fiscaux pour combler ces lacunes sont élevés.
Cela plaide en faveur de la distribution de dividendes : les dividendes sont imposés de manière privilégiée si l'actionnaire dispose d'une participation d'au moins 10 %.
Mais faut-il, en tant que propriétaire d'entreprise, se verser un salaire AVS plus élevé ou un dividende plus important ? Il n'y a pas de réponse claire à cette question. Il faut toujours examiner le cas particulier.